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=► COURSE DE CADARSAC VENDREDI 30 MAI 2025
Le samedi, 31 mai 2025
Semi nocturne open 3 et Acces 1234
Organisateur : AVC Libourne
Classement :
1er JUklien HALARY CAM Bordeaux
23ème Bastien DUBOIS US Bouscat
3ème Anthony PIRON Team STS
31ème Célia BOULANGER Club Cycliste Marmande 47 (2ème féminine)
36ème Clément BENOT COLLIN Club Cycliste Marmande 47
=► 78ème EDITION PRIX DE L’ASCENSION NERSAC LE JEUDI 29 MAI 2025
Le samedi, 31 mai 2025
Organisateur :AC NERSAC
Course fédérale U19
108 coureurs au départ
63 coureurs classés
Archibald LEPAIH, Mathis CAPPE, Alexi PIQUET et Lilian ROUSSEL
Archibald LE PAIH
Alexi PIQUET
Lilian ROUSSEL avec le maillot de champion du Lot et Garonne
Classement :
1er MEUNIER Victor TEAM U LH en 2h56’24 »
2ème FOUQUET Lucas LA ROCHE SUR YON VENDEE CYCLISME à 07 »
3ème MABILLE Alex INTEGRALE BICYCLE CLUB ISLE JOURDAIN à 46 »
22ème ROUSSEL Lilian CLUB CYCLISTE MARMANDE 47
25ème PIQUET Alexi CLUB CYCLISTE MAMRANDE 47
Abandon de Mathis CAPPE et Archibald LE PAIH
=► PRIX D’AUCH – ZI D’ENGACHIES DIMANCHE 25 MAI 2025
Le vendredi, 30 mai 2025
Organisateur : UVAGG et Ville d’Auch
Course des U17
Distance : 40 tours de 1,3kms soit 52kms.
Classement :
1er Romain CAZAUX Occitanie Gers
2ème Ewan PORTAL Villeneuve Cycliste
3ème Yassin NEKKACHE AS Muret
6ème Kylian BERBIGUIE Club Cycliste Marmande 47
=► STAGE EQUIPE DE FRANCE PISTE VELODROME DE SAINT QUENTIN EN YVELINES DU 29 MAI AU 01 JUIN 2025
Le vendredi, 30 mai 2025
Lilou JAUVIN de Marmande Women developpement fait partie des 7 sélectionnées.
Les sélectionnées :
Zoé BIHAN (Breizh Ladies)
Margo DOLLION (Team Praz-sur-Arly-Haute Savoie)
Anaëlle EVRARD (Abus-Sprinteur Club Féminin)
Julie FORBRAS (Team Avesnois Féminin)
Lilou JAUVIN (Marmande Women Développement)
Romane KARPP (Abus-Sprinteur Club Féminin)
Eva PHILIPPE (Lanester Women Morbihan)
=► SMR : vers une évolution des suivis médicaux
Le vendredi, 30 mai 2025
Un certain nombre de licenciés – l’ensemble des cyclistes inscrits sur liste de haut niveau, sur liste espoirs et collectifs nationaux, ainsi que ceux faisant partie du plan de performance fédéral – sont soumis à la Surveillance Médicale Réglementaire (SMR). Un système que la médecine fédérale fait évoluer, parce que les enjeux ont changé, pour se recentrer sur la santé, notamment considérée comme facteur de performance.
L’objectif initial de la systématisation des bilans biologiques, adoptée au début des années 2000, était la lutte contre le dopage, alors particulièrement urgente. Il s’agissait de visualiser des paramètres hors-normes, fréquents à cette époque, et susceptibles d’altérations majeures sur la santé.
Or, le contexte a profondément changé. Non seulement le dopage de masse a reculé de façon significative, mais les protocoles de dopage actuels n’entraînent plus les mêmes perturbations biologiques, et les paramètres relevés par les bilans sanguins ne sont plus pertinents. Le dispositif est donc clairement dépassé.
Cette obsolescence a d’ailleurs été actée dès 2016 par la suppression dans le Code du Sport de l’obligation légale des dits « bilans biologiques ». Il y a donc lieu de rappeler aussi l’objectif de la SMR, telle que définie dans l’article R.231-3 Décret n°2016-1286 du 29 septembre 2016 du Code du Sport : « La surveillance médicale à laquelle les fédérations sportives mentionnées à l’article L.231-6 soumettent leurs licenciés inscrits sur la liste des sportifs de haut-niveau ou reconnus dans le projet de performance fédéral a pour but de prévenir les risques sanitaires inhérents à la pratique sportive intensive. »
Or, il est de fait que les vraies anomalies mises en évidence par ces bilans dans le cadre de la SMR s’accompagnent de symptômes cliniquement visibles – à commencer par la fatigue ou une baisse de performance. « Imaginons qu’un individu présente une arthralgie [douleur] de genou. Il faudrait évidemment faire une radio, puis éventuellement une échographie ou une IRM, et potentiellement une analyse sanguine. Ce ne serait pas une raison pour prescrire des IRM de genou à tous nos athlètes, ni rechercher systématiquement une pathologie articulaire avant l’apparition de symptômes ! Dans une pratique médicale adaptée, l’examen clinique est un préalable à tout bilan complémentaire, sauf action de santé publique, tels les dépistages », explique Éric Meinadier, médecin fédéral.
Dans la quasi-totalité des cas, les analyses sanguines ne font donc que confirmer ce que consultation médicale et examen clinique ont déjà révélé. De fait, pour la majorité des athlètes, les bilans biologiques effectués dans le cadre de la SMR n’ont d’autre utilité que de quantifier un peu vainement un état de fatigue ou une baisse de performance, souvent liés à des enjeux nutritionnels ou hormonaux.
Il s’agit donc de réviser le caractère systématique de ces bilans biologiques, aussi coûteux qu’inefficaces, au moins quant à la mission d’une médecine fédérale volontairement recentrée sur la santé des athlètes, y compris dans le cadre de la SMR. Le médecin n’a pas vocation à la surveillance policière.
De ce point de vue, faire les choses dans l’ordre, c’est restaurer la qualité de la relation médecin-patient, et la place de la consultation, avant que de raisonner en termes d’examens biologiques. L’éventuel recours à ces derniers n’interviendra que secondairement à l’examen clinique, et à la suspicion de pathologies ou de carences nutritionnelles (potentiellement nuisibles à la santé aussi bien qu’à la performance).
La démarche de la médecine fédérale consiste à viser l’amélioration de la performance par l’éducation à la santé. « Laquelle n’est pas envisagée naïvement, comme un idéal, précise de docteur Meinadier, mais toujours en lien avec ce contexte très particulier qu’est la vie d’un coureur cycliste de haut niveau. » Il est donc essentiel d’éduquer athlètes et entraîneurs sur les signes de fatigue et de désadaptation nutritionnelle, voire de troubles du comportement alimentaire.
Ainsi, réinstaller la médecine dans sa vocation première, hygiénique et thérapeutique, c’est remettre au premier plan l’approche individualisée, le cas par cas.
Les athlètes sélectionnables en Équipe de France bénéficieront d’un suivi individuel par les médecins fédéraux, et de bilans adaptés à leurs besoins réels. Pour les autres, on recommande un suivi médical de proximité, avec consultation en cas de symptômes cliniques ou, bien sûr, de baisse de performance inexpliquée.
La médecine fédérale œuvre à la mise en place d’un réseau de médecins du sport. Référencés par la FFC, et formés aux spécificités du sport cycliste, ils seraient donc identifiables par tous les licenciés.
L’objectif à terme est de mailler le territoire de ces praticiens référents, de sorte à ce que chaque cycliste puisse trouver localement une consultation spécialisée. « Tout médecin intéressé est ainsi prié de se signaler par l’envoi d’un simple mail à medical@ffc.fr », appelle le Docteur Meinadier.
En conclusion, cette évolution vise à moderniser la médecine du sport en privilégiant un suivi médical de qualité, plus personnalisé et basé sur des besoins réels, tout en renforçant l’éducation des sportifs pour une meilleure prévention. Elle s’inscrit dans une politique médicale visant à valoriser la santé des athlètes et à promouvoir une approche plus compétente et proactive de la médecine fédérale, aussi bien dans sa mission de protection de la santé, que dans une conception de ladite santé comme facteur de performance.
=► Moins d'argent de l'ANS pour les clubs et les comités
Le vendredi, 30 mai 2025
Par DOMINIQUE TURGIS
Le 27 mai 2025
Direct Vélo
Les clubs et les comités qui demandent des aides de l'Agence nationale du sport (ANS) au développement dans le cadre des Projets sportifs fédéraux auront moins d'argent à se partager en 2025 : 1 169 000 euros contre 1 387 600 en 2024.
Les demandeurs avaient jusqu'au 16 mai pour déposer leurs dossiers. La commission d'attribution des subventions territoriales se réunira les 10 et 11 juin. Les actions aidées ne varient guère et peuvent concerner le développement de la pratique, le sport santé, la responsabilité sociétale des associations ou encore l'accession territoriale au sport de haut niveau.
Parmi les actions aidées l'an dernier, 146 000 euros étaient destinés à l'animation olympique et vacances paralympiques, devenues sans objet après les Jeux. Mais l'enveloppe de cette année est aussi inférieure à celle de 2023. En 2024, 301 structures (dont 234 clubs) avaient bénéficié des aides de l'ANS pour de développement pour 804 projets. 54% de l'enveloppe de l'ANS avait été attribuée aux clubs de la FFC.
Un changement va intervenir à partir de 2026. Seuls les clubs dont tous leurs membres sont affiliés à la FFC pourront bénéficier de ces aides attribuées par l'ANS à la fédération.
=► LA 30ème EDITION DU TROPHEE CENTRE MORBIHAN SAMEDI 31 MAI ET DIMANCHE 1er JUIN 2025
Le mercredi, 28 mai 2025
La 30e édition du Trophée Centre Morbihan (MJ 2.Ncup) se disputera les samedi 31 mai et dimanche 1er juin. Deux étapes en ligne et un contre-la-montre individuel sont au programme de l'épreuve, inscrite au calendrier de la Coupe des Nations Juniors. Le vainqueur succédera à Axel Bouquet (voir classements). Retrouvez ci-dessous la liste des étapes et des engagés.
Deux coureurs du Club Cycliste Marmande 47 participeront à cette épreuve de la Coupe des Nations :
Jules GAUTRAIS sous les couleurs de la Nouvelle Aquitaine
Alban PICARD sous les couleurs de l’équipe de France.
Les étapes :
31/05 - Et. 1 : Pontivy - Pontivy (119,9 km)
01/06 - Et. 2 : CLM individuel - Réguiny - Évellys (7 km)
01/06 - Et. 3 : Moréac - Locminé (106,9 km)
=► 1ère MANCHE DE LA COUPE DE FRANCE PISTE FOIX 6 17 ET 18 MAI 2025
Le mardi, 27 mai 2025
Organisateur : Guidon Fuxéen
Vélodrome de 500m
Lilou Jauvin sélectionnée au sein de l’équipe de Nouvelle Aquitaine a disputé sur les deux journées 6 épreuves.
Les places qu’elle a obtenues :
Vitesse : 4ème
Scratch : 9ème
500m vitesse : 6ème
Elimination : 2ème
Course aux points : 5ème
Américaine : 3ème