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Dans Route

=► LA COUPE DE FRANCE N3 S’ARRETE LA

Le dimanche, 14 juin 2020

Le 13 juin 2020, (Direct Vélo)

268(Photo de Freddy Guerin)

Il n'y aura pas d'autre manche de la Coupe de France N3 en 2020. Programmé le 13 septembre prochain, le Grand Prix de la Tomate à Marmande a quitté le challenge réservé aux 20 clubs de N3.

"C'est regrettable de ne pas avoir d'autre manche mais c'est compliqué de demander à des N3 de traverser la France pour une course étant donné le contexte actuel", confie Ludovic Sylvestre, vice-Président de la FFC, à DirectVelo.

Une seule manche de la Coupe de France, (la Vienne Classic) s'est disputé cette saison. Le Grand Prix Cycliste de la Région Sud et les Boucles de la Marne, prévus ce printemps, n'ont pas été reprogrammés.

En tête après la Vienne Classic, le VC Lucéen va donc terminer premier de la Coupe de France N3.

Classement général :
1 VC LUCEEN 42 pts
2 LESCAR VELO SPRINT 34
3 MOYON PERCY VELO CLUB 32
4 CORBAS ISATIS CYCLING TEAM 21
5 V.C.LA POMME MARSEILLE 16
6 TEAM CYCLISTE PERIGORD 24 15
7 CLUB CYCLISTE MARMANDE 47 15
8 USP ISSOIRIENNE 14
9 DN OCCITANIE CYCLISME 13
10 CSCA PROPRETE 2000 10
11 U.V.AUBE 8
12 ESEG DOUAI 6
13 VC AVRANCHES 5
14 US ST HERBLAIN 2
15 ASPTT NANCY MEURTHE ET MOSELLE 0
16 PAU VELO 64 0
17 GRENOBLE METROPOLE CYCLISME 38 0
18 SABLE SARTHE CYCLISME PDL 0
19 SC BOULONNAIS-CASINO GOLDEN PALACE BSM 0
20 TEAM EC 14-GROUPAMA -75


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Précisions du Club Cycliste Marmande 47 :

Le CCM organisera le 69ème Grand Prix de la Tomate (Souvenir Marino Verardo) le 13 septembre comme prévu initialement. Dans un contexte tendu et difficile nous avons décidé de maintenir notre épreuve.

Cette course se disputera en élite nationale sur un parcours modifié. Cette épreuve permettra aux coureurs du Sud-Ouest d’avoir une belle épreuve dans leur région en effectuant une distance raisonnable. Nous espérons par ailleurs obtenir un peloton plus étoffé. Pour mémoire, lors de la 1ère manche de la coupe de France il y avait un peloton de moins de cent coureurs.

Cinq raisons à ce choix :

  • Le manque de signaleurs, nous passerons de 80 signaleurs à une vingtaine.

  • L’épreuve n’entrera pas dans Marmande Intramuros, ce qui engendrera moins de spectateurs regroupés à l’arrivée, ces derniers seront répartis tout le long du parcours. Les gestes barrières en seront facilités.

  • L’aspect financier, beaucoup de sponsors n’ont pas renouvelé leur aide dans le contexte économique que nous traversons actuellement.

  • Le fait d’organiser une finale alors qu’une seule manche de Coupe de France se soit disputée ne parait pas idéal sur un plan purement sportif.

  • Des équipes de N3 qui nous ont fait savoir qu’elles ne pourront pas participer à la finale, du fait de la distance pour se rendre sur le lieu de course et des frais financiers occasionnés pour participer à l’épreuve. Ceci avec le risque d’engendrer une réfaction importante de coureurs.

L’an prochain nous reprendrons la formule initiale et nous proposerons de nouveau notre épreuve comme finale de Coupe de France N3. Il appartiendra à la FFC de faire son choix.

 

Dans Santé

=► CYCLISME PROFESSIONNEL LES FACTEURS DE LA PERFORMANCE

Le samedi, 13 juin 2020

Médecine du sport, le 12 juillet 2019 par Jean Jacques Menuet 

Il s’agit d’un vaste sujet, qu’il n’est possible d’aborder qu’en traçant les grands lignes, sans disserter sur chacun des facteurs qui à mon sens concourent à la performance : comment aborder la réflexion de la performance chez le cycliste de haut niveau, plus généralement comment se fabrique un cycliste de haut niveau !!

site de conseils en médecine du sport: http://www.medecinedusportconseils.com/

site sur lequel peuvent être téléchargées des séances de sophrologie adaptées au sport: http://www.seance-sophrologie.com/ 

La génétique : et oui, si on commençait par-là !! logique : on ne fera jamais un cheval de course avec un bourrin, désolé… Ça signifie: des critères morphologiques, la qualité des fibres musculaires (on est programmés pour être rouleur ou sprinter ou pépère devant la télé ou le bob Ricard à la pêche en rivière), le mental acquis par les gènes, le passé familial génétique de haut niveau et la transmission génétique de facteurs de la performance, le potentiel biologique génétique : je veux dire par exemple une érythropoiëse (en gros : capacité à fabriquer des globules rouges) performante qui favorisera l’endurance prolongée (de même que les très grands gabarits vont se retrouver dans le basket, avant qu’on ne parle d’hormone de croissance qui fait grandir !) ; le dépassement de soi, la force de caractère. Mon exercice de 30 années de clientèle m’a convaincu que le bébé puis le gamin que je voyais en consultation présentait déjà les mêmes traits de caractère que lorsque je le verrai plus tard à l’adolescence puis à l’âge adulte : le regard, le comportement, le sourire, la facilité ou pas à communiquer: celui qui cavale partout dans la salle d’attente et le cabinet médical, celui qui regarde de côté pour ne pas affronter le regard, celui qui affiche un regard franc et généreux, le casse-cou, le timide, etc. … Tout cela c’est la génétique.

Les facteurs environnementaux : plus de chances de devenir un cycliste de haut niveau si le père le grand père et les oncles ont fait du vélo plutôt que du piano … Les images gravées dans la mémoire, les histoires de courses racontées pour s’endormir ; il n’y a qu’à voir les très jeunes enfants qui viennent dire bonjour à Papa sur les courses, le câlin dans les bras de Papa avant le départ, l’ambiance du départ, la musique, les vélos, toutes ces images qui se greffent dans la mémoire … Puis le premier vélo, les premiers entraînements, le premier club ; la rencontre avec des gens qui communiqueront un savoir, une expérience, un charisme.

La détection : facteur essentiel pour dépister un potentiel physique, physiologique, mental.

Le recrutement : les meilleurs coureurs amateurs sont-ils recrutés ? Oui le plus souvent, mais pas toujours; parfois c’est le réseau des copains des copains, parfois il faut se poser la question de savoir pourquoi un coureur marche « trop » bien quand il est amateur puis ne marche plus du tout quand il est pro; il faut prendre le temps de connaître l’histoire personnelle et sportive du sportif; lui faire passer des tests, discuter, évaluer son projet par rapport au projet d’une équipe. Médicalement physiologiquement et psychologiquement une véritable visite d’embauche s’impose. Des coureurs au profil psychologique trop fragile vivent un véritable calvaire dans le milieu pro, et le quittent rapidement.

L’entraînement : le recours à un staff bien sûr compétent, surtout disponible, un entraîneur à  l’écoute dans une relation interactive. J’aime dire que l’entraîneur est la pièce maîtresse de la performance: la relation sportif-entraîneur est la clé de voûte de la performance. La mise en place de stratégies en phase avec les progrès de la technologie, mais en restant au centre d’une relation humaine et chaleureuse où prévalent les notions d’échange, de partage, d’empathie; Et un travail avant tout centré sur les SENSATIONS: savoir recueillir ses sensations, les analyser, pour corriger et adapter. Des protocoles de musculation adaptés à la spécificité du cycliste, en adéquation avec des protocoles nutritionnels adaptés.

Le suivi médico-sportif :

  • Dans un sport d’endurance prolongée ce suivi inclut avant tout la nutrition : comment se nourrir tout au long de l’année, comment avoir le bon carburant avant et après les entraînements et les courses, comment développer ses batteries musculaires qui vont stocker le carburant, comment récupérer ; comment être au poids et au pourcentage de masse grasse optimaux pour les objectifs ; élaboration par des spécialistes de la nutrition (et non des gourous … ou des pseudo « préparateurs multi-cartes ») de protocoles précis et adaptés à chaque type d’effort : course en ligne, contre la montre, prologue, piste ; prenant en compte de très nombreux paramètres spécifiques au sportif et à son environnement. Optimiser les processus de récupération.

  • Un suivi médical cohérent où chaque intervenant prend sa place : le médecin n’est pas entraîneur, l’entraîneur n’est pas médecin ; le médecin d’équipe est un acteur de terrain, au centre d’un réseau spécialisé de confrères tous expérimentés dans leur savoir : des référents en traumato, en cardiologie du sport, en pneumologie, etc.

  • Quelques exemples de terrain qui justifient la présence du doc : le coureur peut-il « marcher » sur une étape s’il a eu une diarrhée en pleine nuit, s’il a un bouton de fièvre qui chauffe, s’il présente un nodule du périnée qui se complique, ou une angine, s’il présente un souci de carrosserie. La médecine de terrain est spécifique et se doit de répondre rapidement à tout problème, bien évidemment dans le respect d’une éthique sportive et médicale même s’il faut prendre en compte l’exigence d’un coureur qui veut terminer son Tour même s’il présente 2 fractures de côtes.

  • La détection la prévention et la prise en charge de carences : en vitamines, en Fer (« le Fer transporte l’oxygène »), en oligo-éléments.

  • Le dépistage, la prévention et la prise en charge de pathologies qui constituent un frein à la capacité d’endurance : l’asthme d’effort(https://www.medecinedusportconseils.com/2013/07/20/asthme-ventoline-suspicion-dopage-performance/, les allergies(http://www.medecinedusportconseils.com/2013/06/03/attention-allergies-sport-pollens-et-graminees-ils-attaquent/ ), la carence en Fer(http://www.medecinedusportconseils.com/2009/10/20/les-apports-de-fer-toxiques-utiles/)

  • Le doc sur le terrain offre une écoute, une disponibilité ; un espace d’échange privilégié dans lequel rentre bien sûr la notion de confidentialité, de « non jugement ».

  • Le médecin sur le terrain travaille en interactivité avec des kinés, des ostéos: chacun son savoir son expérience ses compétences: le doc ne masse pas et ne pose pas les tapes, l’ostéo ne brouille pas les messages en donnant des conseils de nutrition.

Les facteurs psychologiques de la performance : ils sont prépondérants ; mon expérience de plus de 30 années sur le terrain m’amène à considérer qu’à potentiel physique physiologique égal, le mental fera la différence ; j’ai rédigé de nombreux articles dans ce sens ; je revendique à mon niveau une expérience, et de nombreux autres acteurs dans le sport proposent comme moi des stratégies. Dès lors que l’éthique des « outils » employés est respectée, dès lors que le sportif est respecté, dès lors que c’est lui qui est placé au centre de la stratégie, alors chacun peut trouver sa place ; on ne parle pas de psychologie à tout crin, de questionnaires à remplir, on parle de terrain, où le mécano peut aussi apporter beaucoup à un cycliste ; chaque acteur de terrain doit dans l’équipe offrir une écoute ; chaque acteur de terrain doit être conscient qu’il a sa mission, que le travail collectif doit être dirigé dans l’intérêt du seul sportif. Alors rien d’original d’avancer que celui qui gagnera sera celui qui a sublimé sa douleur, ce sera le vrai guerrier, souvent le plus malin, souvent celui qui aura bien géré ses émotions. Pour ma part je propose des outils comme la sophrologie (http://www.seance-sophrologie.com/ ), rien n’est imposé, pas d’obligations, le gars prend ou il ne prend pas.

La mission des acteurs qui environnent le sportif :

Expliquer pourquoi, comment ; le sportif qui sait pourquoi il met en place une recommandation (exemple un protocole de récupération après une course en ligne sur un parcours montagneux en pleine cagna) appliquera bien la stratégie : « comprendre pour bien faire » ; c’est la même chose pour les étirements, les exercices respiratoires, la musculation, l’entraînement.

Chaque acteur travaille avec son savoir, son expérience, et respecte le travail de l’autre ; n’oubliant pas que si le sportif n’est pas là le staff n’existe pas …

Les grandes phrases … ça fait du bien à celui qui les énonce, alors je me lâche !! Avec quelques mots qui sincèrement résument la conception que j’ai de ce que nous devons apporter à un sportif : une écoute, du respect, et passer du temps avec ceux qui vont prendre dans ce que nous leur conseillons ce qui est utile pour eux : à mon sens « le sportif le plus compétent et le plus performant est celui qui sait s’approprier ce qui lui a été transmis, et qui un jour en se retournant sur son chemin parcouru aura la conviction d’avoir atteint le maximum de son potentiel en respectant son corps et en s’épanouissant dans sa vie »

Cet exposé ne peut être qu’incomplet, partial et imparfait, mais il pouvait être intéressant de proposer mon regard en regroupant sur papier mes convictions !

PS : volontairement j’ai zappé sur le dopage … même si je sais qu’un article sur le dopage recrute 10 fois plus de lecteurs !!! Idem pour les articles ou les photos sur mon fidèle labrador  Chaque sportif fait ce qu’il veut de sa vie, le médecin n’est pas là pour juger ; sa mission sera de mettre en place une stratégie de prévention mais aussi, sur le terrain, de se protéger lui-même ; un cadre précis juridique environne notre équipe comme je le pense (et j’espère … ???) la plupart des structures sportives professionnelles ; les sanctions pénales et sportives encadrent le fonctionnement d’un sport où chacun aura à prendre ses responsabilités en cas de « problème ». Mon regard m’amène à affirmer que le sport cycliste progresse, sur le terrain et les téléspectateurs avertis le constatent aussi sur les images … Un vœu : puisse une volonté politique se dégager pour que la lutte contre le dopage soit observée avec la même assiduité dans tous les sports… je n’évoque que les aspects sur la santé, conscient que le spectacle est peut-être une nécessité pour l’équilibre de la cité 

Allez bonne route…

Dans En bref

=► Grand prix cycliste du Conseil Municipal De Saint Martin de Seignanx 31/08/2009

Le vendredi, 12 juin 2020

C’est sous une chaleur accablante pour les cyclistes que s’est déroulé le traditionnel prix du Conseil Municipal de Saint Martin de Seignanx.
47 coureurs ont répondu à l’appel du speaker pour 110 km sur un circuit toujours aussi difficile.
Dès l’annonce du prix du meilleur sprinteur la sélection devient impitoyable. A ce jeu, Thomas Kazusba et Maxime Martin de Marmande remportent l’essentiel des sprints.
A l’issue de la mi-course, Carl Naibo, Lionel Brignoli, Maxime Martin, Damien Branaa, Four Laurent et Rey Fabien constituent l’échappée reine de cette épreuve. Mais la tenacité des trois premiers nommés leurs permet de s’échapper pour se disputer la victoire au sprint.
A ce jeu Carl Naibo se montre le plus rapide et remporte une victoire aisée. Le sprint du peloton a été remporté par Alain Senelle, licencié en Champagne-Ardennes,devant les coureurs de "Lescar Vélo sprint". Il faut noter l’excellente prestation du junior Pierre Comet du" Vc Saliesien" en présence du gotha du cyclisme Aquitain. 

267                      

                                                                    C.P

Classement général de l' épreuve:
1/ Naibo Carl,"Us Montauban"
2/ Brignoli Lionel,Artix
3/ Martin Maxime,Marmande
4/ Senelle Alain, Charleville-Mézières
5/ Kaszuba Tomaz,Marmande
6  Four Laurent,"Lescar Vc"
7/ Dutour Julien, "Lescar Vc"
8/ Lubat Nicolas, "Lescar Vc"
9/ Comet Pierre,Salies 1er junior
10/Branaa Damien,Nay

 

Dans En bref

=► Débrider un VAE est désormais passible d’un an de prison

Le vendredi, 12 juin 2020

27/02/2020

Trafiquer un vélo à assistance électrique (VAE) pour pouvoir profiter de l'assistance au-delà de 25 km/h : si l’idée peut sembler séduisante au premier abord, elle s’avère non seulement dangereuse, mais désormais punie par la loi. L’UNION sport & cycle, mobilisée de longue date pour limiter cette dérive dangereuse, se satisfait de cette mesure de fermeté.

Les chiffres du dernier Observatoire du cycle en témoignent, et la prochaine édition devrait le confirmer : le VAE fait de plus en plus d’adeptes en France. Ses utilisateurs apprécient le confort de l’assistance électrique, qui leur permet de pédaler plus vite en fournissant un effort moindre. Avec une limite : l’assistance électrique s’arrête lorsque le vélo atteint les 25 km/h. Au-delà, seul l’effort de pédalage de l’utilisateur lui permet d’accélérer.

Une limite jugée trop contraignante pour certains, qui ont pu être tentés par l’installation de kits de débridage sur leurs vélos, leur permettant de prolonger l’assistance électrique bien au-delà de 25 km/h. Problème : c’est dangereux, et c’est illégal.

Une pratique dangereuse

Un VAE mis sur le marché est conçu pour offrir une assistance électrique jusqu’à 25 km/h. Débrider le vélo peut alors entraîner une usure prématurée du cadre, de la fourche, des freins et des roues,  ou encore une dégradation du moteur et de la batterie.

Un danger pour la sécurité, donc, mais également un risque de surcoûts de réparation non-négligeable.

Sans compter que l’engin débridé n’est plus considéré comme un vélo mais comme un cyclomoteur. En conséquence, il n’est plus couvert par la garantie (ni par le constructeur ni par le magasin) et son propriétaire circule sur un engin non homologué et n’est pas assuré. Un bricolage lourd de conséquence donc…

Un délit désormais puni par la loi

Promulguée en fin décembre dernier, la Loi d’orientation des mobilités modifie le code de la route et interdit cette pratique : un an d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende sont désormais requis pour un professionnel qui modifie « le dispositif de limitation de vitesse afin de permettre (…) au cycle de dépasser sa vitesse maximale autorisée ». Les articles L317-1 et suivants disposent notamment que « le cycle sur lequel l'infraction a été commise est immobilisé et retiré de la circulation jusqu'à ce qu'il ait été mis en conformité ou réparé. » Les fabricants de kits de débridage encourent, quant à eux, deux ans d'emprisonnement.

L’UNION sport & cycle salue cette mesure qui distingue clairement les VAE des cyclomoteurs et les inscrit durablement comme des engins de mobilité douce.

Dans Route

=► LE GRAND PRIX DE LA TOMATE QUITTE LA COUPE DE FRANCE POUR 2020

Le vendredi, 12 juin 2020

Le 12 juin 2020,

2 678

Le Grand Prix de la Tomate n'accueillera pas la finale de la Coupe de France N3. Des raisons économiques et la difficulté de réunir 70 signaleurs ont poussé le Club Cycliste Marmande 47 à prendre cette décision. La course Lot-et-Garonnaise a été réinscrite au calendrier national. Elle aura lieu le 13 septembre.

Le Grand Prix de la Tomate à Marmande a été manche de la Coupe de France DN3 de 2016 à 2018. L'an passé, la course était classée en Élite Nationale.

12 22

L'Australien Ben Carman s'était alors imposé.

1

 Ben CARMAN

TEAM U CUBE 17

50 pts

3h40'10"

 

 

2

 Pierre CREMA

CC MARMANDE 47

40 pts

"

 

 

3

 Ludovic NADON

OCÉANE TOP 16

35 pts

"

 

 

4

 Gari LAGNET

OCÉANE TOP 16

30 pts

"

 

 

5

 Bastien BAREILLE

ENTENTE 64

27 pts

"

 

 

6

 Killian LARPE

TEAM U CUBE 17

24 pts

"

 

 

7

 Thomas ACOSTA

BOURG-EN-BRESSE AIN CYCLISME

21 pts

"

 

 

8

 Morne VAN NIEKERK

ST-MICHEL-AUBER 93

18 pts

"

 

 

9

 Maxime AGUT

LESCAR VS

15 pts

"

 

 

10

 Quentin ROSSINI

OCÉANE TOP 16

12 pts

"

 

 



 

 

 

Dans En bref

=► ANTHONY LANGELLA REMPORTE LE VELO D’OR 1996

Le vendredi, 12 juin 2020

JOURNAL VELO N°327 DE JANVIER1997

264On trouve également à la 32ème place de ce classement le coureur Marmandais Jérôme Bonnace

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