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Dans Presse

=► CRITERIUM CYCLISTE INTERNATIONAL A MARMANDE LE SAMEDI 31 JUILLET 1976

Le jeudi, 19 mars 2020

CRITERIUM CYCLISTE INTERNATIONAL

A MARMANDE LE SAMEDI 31 JUILLET 1976

ORGANISE PAR LE VELO SPORT MARMANDAIS

 

3 épreuves à disputer en soirée :

Course par élimination sur 30 tours

Epreuve individuelle sur 2 tours

Course e ligne sur 70 tours

Circuit de 1,2km : Rue de la Libération, rue de la République, Place du Marché, boulevard Richard Cœur de lion, rue de l’Observance et rue de la libération

Le speaker était Maurice Jouault.

Deux marmandais au départ : Alain BERNARD et Claude MAGNI.

23 coureurs professionnels ont disputé les 3 épreuves

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Dans Presse

=► Alain BERNARD ancien pro

Le jeudi, 19 mars 2020

PARUTION DANS LE JOURNAL SUD-OUEST EN 1997

Sous la plume de Michel Roussille

Article sur l’ancien pro : Alain BERNARD

 

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Dans Santé

=► POUR LES SPORTIFS ET LES CYCLISTES

Le jeudi, 19 mars 2020

POUR LES SPORTIFS ET LES CYCLISTES FACE A UNE SITUATION EXCEPTIONNELLE.

LA COUPURE EST-ELLE BÉNÉFIQUE ?

DE FAIT ELLE EST IMPERATIVE.

 

Fatigue physique (non pas déjà) ou saturation psychologique ? Avec la situation sanitaire actuelle, l’obligation est simple : raccrocher le vélo pour plusieurs semaines.

La règle est la suivante : plus de cyclistes sur les routes, nous sommes en confinement, point à la ligne.

Ceci est impératif uniquement sur la route, mais rien ne vous empêche de vous entraîner sur home-trainer et d’améliorer votre condition physique à l’aide d’exercice de gymnastique et/ou de gainage au quotidien. A cela deux raisons : se maintenir en condition minimum et « s’aérer le cerveau ».

La motivation est probablement en berne avec la plupart des objectifs qui sont modifiés, mais ceci n’est pas grand-chose à côté de ce que la plupart d’entre nous vivent et nous pensons particulièrement à nos anciens.

Mais rassurez-vous, à condition de bien la gérer, cette coupure « printanière » qui est une nouveauté dans le calendrier cycliste, ne sera pas néfaste à long terme, et permettra même d’assimiler probablement et correctement les efforts effectués tout au long du reste de la saison, afin de continuer à progresser. Cette coupure va vous permettre de recharger les accus, aussi bien physiquement que mentalement, pour que le corps soit prêt à supporter les charges de travail imposées sur la fin de saison qui risque d’être plus longue, puisque déjà certains demandent que la saison cycliste puisse se dérouler jusqu’à fin novembre. Alors restons optimistes, il y a plus grave dans la vie.

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Il est vrai que les chiffres indicateurs d’une baisse d’efficacité cycliste après une coupure totale donnent le vertige : 8% de baisse de VO2 max en trois semaines, (18% en trois mois), 8% de baisse du débit cardiaque en trois semaines, 13% de baisse du seuil anaérobie en deux semaines, 4 à 5 % de FC max en plus en trois semaines, perte de force musculaire rapide (dès une semaine sans entrainement), et baisse des capacités neuromusculaires spécifiques au geste cycliste (dès une semaine). Sans compter une prise de poids rapide pour ceux qui ont un bon coup de fourchette (surtout avec les réserves effectuées par certains dans les grandes surfaces) et selon un calcul mathématique très simple : excédent des apports + baisse de l’activité = prise de poids. En gros, on passe très rapidement d’un état de coureur entrainé et affûté à celui d’un sportif moyen. Mais heureusement, le corps a d’excellentes qualités de mémoire, et le retour à la normale s’effectue également très rapidement, dans des conditions habituelles d’entraînement. Comptez le double de temps d’entrainement par rapport à la coupure totale, soit un mois après une coupure de deux semaines, ou…deux à trois mois après une coupure de 45 jours (tendance actuelle) pour retrouver votre niveau d’avant la coupure. Mais ceci n’est qu’une généralité et il y a des exceptions. Tout le monde sait messieurs et mesdames les coureurs que vous êtes exceptionnels. Prenez votre mal en patience et bon courage à tous durant ce confinement.

Essayez d’autres activités :

Néanmoins, comme lorsqu’on parle de coupure à l’intersaison, notons qu’il n’est pas spécifié que celle-ci doit être totale d’une part, et qu’ensuite il soit souhaitable de revenir à son meilleur niveau le plus vite possible, bien au contraire. C’est pour cette raison que cette coupure est aussi l’occasion de pratiquer d’autres activités physiques, qui auront d’autres effets que d’entrainer le geste spécifique au cyclisme : limiter la chute brutale de la condition physique, voire entretien de celle-ci, travail d’autres qualités ou des points faibles (force, tonicité, gainage, vitesse, coordination) avec la pratique d’activités tels que la musculation, le gainage, la souplesse, le stretching. Le principal étant de s’éloigner un peu du vélo et de se changer les idées, pour reprendre l’entrainement spécifique en étant frais mentalement et physiquement pour une seconde partie de saison.

Elle est bien longue cette coupure :

C’est une nouvelle expérience et j’en suis certain vous apprendrez à bien gérer cette période, mais cela dépend aussi de votre niveau de motivation. Pour un cycliste de haut niveau, avec un volume d’entrainement habituel d’environ 20h/semaine et au-delà et beaucoup de compétitions. La coupure totale risque d’être comprise entre 2 semaines et plus vraisemblablement 6 à 7 semaines complètes, suivies d’une reprise progressive du vélo et de quelques activités annexes habituelles pendant trois autres semaines, avant de reprendre un entrainement spécifique relativement rapidement

Si vous ressentez une baisse de motivation, profitez-en pour pratiquer d’autres activités, pourquoi ne pas commencer à potasser des bouquins pour devenir entraineur, arbitre ou toute autre chose. Ne pas oublier par exemple de s’intéresser aux règlements de notre sport à son histoire. Encore mieux essayer de s’aérer la tête avec d’autres activités bien différentes du cyclisme, se recentrer sur soi ou sur ses proches, en bref : aérez-vous la tête

Dans Santé

=► Le corona virus l’avis d’un médecin du sport 5 mars 2020 Jean Jacques Menuet

Le jeudi, 19 mars 2020

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Le coronavirus, réflexion médicale d’un médecin du sport

Je suis médecin du sport, j’exerce en qualité de médecin référent dans une équipe cycliste professionnelle (« Arkéa-Samsic »), j’assure des vacations dans un CREPS , je suis présent dans la boxe profesionnelle et amateur; je suis donc un acteur de terrain; toutefois je ne suis ni virologue ni épidémiologiste, et donc je ne suis pas « expert » pour parler du corona virus. Et donc …. je fais confiance aux experts !! Quel autre choix ?

J’ai toutefois un avis sur l’épidémie en cours, avis qui est le résultat de 35 années d’exercice et je pense d’une bonne connaissance du terrain.

Nous sommes le jeudi 5 mars, mon avis résulte de faits objectifs qui se sont déroulés jusqu’à aujourd’hui ; demain on verra … parce que de nouvelles données seront publiées sur l’épidémie en cours, avec peut-être de nouvelles mesures ; toutefois mon idée est que :

  • L’épidémie va continuer à progresser, en France en particulier ; pour atteindre un pic, puis décroitre progressivement ; on peut entretenir l’espoir que cet été le virus aura disparu ; dans l’espoir toutefois que le virus qui sévit actuellement ne va pas muter ; et que le virus actuel procure une immunité suffisante de sorte que les patients atteints aient constitué des anticorps efficaces qui les protègent pour ne pas être réinfectés.
  • De nouveaux décès vont survenir ; surtout auprès de la population âgée semble-t-il; les enfants et les jeunes adultes apparaissant pour l’instant moins vulnérables ; probablement que la virulence de ce virus est « moyenne », et que seules les personnes fragiles (âge, pathologies, moindres défenses immunitaires) soient atteintes par les complications de cette atteinte virale.
  • Le nombre de cas est bien évidemment très sous-estimé, de nombreux patients peu symptomatiques (ou porteurs sains) ne sont pas dépistés et donc ne sont pas comptabilisés.
  • Le risque est de se heurter très rapidement à un manque de personnel soignant (on met en « 14aine » les soignants qui ont été en contact avec des patients testés positifs)

Alors on fait quoi ?

Plutôt que d’écouter les propos de type « il aurait fallu, il faut qu’on, on n’a qu’à », je fais confiance aux Autorités sanitaires de notre pays qui regroupent des virologues, des épidémiologistes, bref des scientifiques. De même que je fais confiance aux Autorités sportives, en particulier les organisateurs de courses. Même si bien sûr 2 aspects viennent troubler le débat : les aspects politiques avec la com, la tentation de « marquer l’histoire » avec une « bonne » gestion de la crise, et l’éloignement salvateur de certains autres débats de terrain qui « fâchent » : le débat sur les retraites par exemple ; et les médias : les chaînes continues -radio et télé- tiennent en haleine la population et accentuent la psychose; pas facile car en même temps le citoyen veut être informé.

Je suis médecin, sur le terrain ; on me dit qu’il faut que j’utilise des gels hydroalcooliques : ok mais …. il n’y en a plus  !! Merci à l’OMS de nous avoir fourni la recette pour fabriquer ce gel ; avant mon départ sur Paris-Nice je viens d’en fabriquer 4 litres. Je dois aussi remettre aux patients enrhumés un masque : ok, le pharmacien m’a remis une boite de 50 masques chirurgicaux (qui sont loin d’être protecteurs à 100%) ; et que fait le médecin généraliste avec cette boite de 50 masques s’il voit 30 ou 40 patients par jour ???? C’est quoi cette société où chacun dispose du tout dernier smartphone, où via Amazon on reçoit dès le lendemain une commande passée sur le Net, et …. où on n’est pas capables de fournir en quantités suffisantes des gels et des masques ?? Pourquoi ne pas autoriser les pharmaciens à fabriquer le gel (la recette est très simple ; aujourd’hui le pharmacien n’a pas le droit de fabriquer ce gel) ??? Ce serait une bonne idée, non ???

Je vais (si la course est maintenue …) partir sur Paris-Nice, puis le Tour de Catalogne ; certaines courses en Italie ont été annulées et une incertitude persiste sur Tirreno-Adriatico et Milan-San-Rémo: faisons confiance aux Autorités sanitaires et sportives italiennes qui -tout comme nos Autorités en France- sont responsables et font tout pour prévenir l’extension de l’épidémie. Et donc comment je vais gérer médicalement ma présence sur ces courses ? :

  • Le gel hydroalcoolique : on va en distribuer aux coureurs, aux membres du staff ; dans le bus, les véhicules, les chambres, à table. De même que des mouchoirs papier à usage unique.
  • Les masques : si un coureur est enrhumé alors il portera un masque lorsqu’il est au contact avec d’autres personnes à l’hôtel, en chambre ; idem pour le staff ; si un coureur ou un masseur ou kiné est enrhumé alors le coureur et le masseur porteront un masque pendant le massage.
  • La consigne sera donnée aux coureurs ne pas se livrer à des interviews en face à face ; à ne pas serrer de mains, à se tenir éloignés de la foule ; la Ligue (présidée par Marc Madiot) va énoncer des mesures cohérentes : interdiction de donner un bidon à un spectateur, rappel des mesures d’hygiène, prise des repas dans une pièce isolée, etc. etc.
  • Mais ….. je fais quoi si un coureur ou quelqu’un du staff est sérieusement enrhumé ? En théorie le patient doit appeler le 15 pour se faire guider sur la conduite à tenir ; en qualité de médecin d’équipe et donc amené à gérer une médecine ambulatoire je souhaiterais qu’une logistique soit mise en place pour que les personnes (coureurs et staff) suspectes bénéficient d’un test de dépistage rapide, avec rendu rapide des résultats. D’autres médecins d’équipe partagent cette demande de terrain.

Et le coureur il en pense quoi de ce virus ? C’est à lui qu’il faut poser la question mais à l’issue des nombreux contacts quotidiens que j’ai avec « mes » coureurs, j’affirme que la sérénité est présente ; les gars se sont entraînés dur pendant l’hiver et aimeraient pourvoir en « découdre » sur les courses ; en même temps ils savent que leur santé est la priorité. Avec l’annulation des courses en Italie, notre staff sportif passe des nuits blanches pour mettre en place des plans B: autres courses, stages.

Avant de terminer cette réflexion de terrain, je ne peux pas m’empêcher de rappeler que la « simple » grippe tue des milliers de français chaque année, le tabac et l’alcool des dizaines de milliers chaque année … Si nos politiques pouvaient dégager autant d’énergie et de cohérence sur la lutte contre l’alcool et ses lobbyings …, même si autant qu’eux je suis conscient que le marché de l’alcool fait vivre de nombreuses régions en France.

=► « Rester chez soi, ça veut dire rester chez soi »

Le mercredi, 18 mars 2020

Roxana Maracineanu :

« Rester chez soi, ça veut dire rester chez soi »


Par NICOLAS MABYLE
Le 17 mars 2020

Depuis l’allocution du Président de la République, Emmanuel Macron, lundi soir, nombreux sont les cyclistes à se demander s’ils sont autorisés à aller rouler en extérieur ou non. Par conséquent, la Ministre des Sports Roxana Maracineanu a tenu à apporter quelques précisions, ce mardi en début de soirée, au micro de la chaîne L’Equipe : “Ce doit être encore plus clair : les quinze jours de confinement annoncés par le Président de la République doivent être respectés à la lettre par tous les citoyens, y compris les sportifs amateurs ou professionnels. J’invite à suivre l’injonction principale : rester chez soi et ne pas sortir (...) pour un entraînement (...). Rester chez soi, ça veut dire rester chez soi. Faire une activité physique (référence à la citation du Président lundi soir, NDLR), ça veut dire sortir près de chez soi pour se dégourdir les jambes, dans sa cellule familiale et réduire la durée de ces sorties pour pouvoir rentrer très vite chez soi”.

L’ancienne Championne du Monde de natation a insisté sur la nécessité pour les coureurs de s’entraîner  à la maison. “Se confiner chez soi, que l’on soit sportif de haut-niveau ou amateur, c’est possible pendant quinze jours. Évidemment, suivant comment la pandémie évolue, il sera ensuite temps de réfléchir à autre chose et de voir si dans le monde professionnel ou amateur, il y a lieu de réfléchir à se positionner comme une entreprise qui ne doit pas perdre ses ressources humaines ou ses compétences, et pouvoir envisager des sorties encadrées pour pouvoir conserver le capital physique des athlètes (...) Mais aujourd’hui, ils ont la possibilité de le faire depuis chez eux avec du matériel adéquat pour s’entretenir physiquement à la maison”.

 

=► EXERCICES A FAIRE SUR HOME-TRAINER

=► 10 EXERCICES DE GAINAGE AVEC BALLON

 

Dans Route

=► Arrêt des activités

Le samedi, 14 mars 2020

Le Club Cycliste Marmande 47, compte tenu de la situation sanitaire actuelle d'une part et de la décision gouvernementale d'autre part, décide de suspendre toutes activités collectives de notre club.

A savoir : plus de regroupement et plus de déplacements de nos coureurs et dirigeants jusqu'à nouvel ordre.

Ceci est valable pour l'ensemble des sections sportives du Club Cycliste Marmande 47.

Dans Route

=► CHALLENGE FEMININ DU 49 EPREUVE « ELLES » PAYS DE LA LOIRE Dimanche 08 mars 2020

Le samedi, 14 mars 2020

Organisateur : CV de Chemille

Participantes : 30 minimes et cadettes, 22 classées

Tours à parcourir soit 33,6kms.

Temps exécrable : pluie, froid et vent.

Romane

2 740

concentration avant le départ

3 6024 4595 317

 

Classement :

1ère Zoé HERRERO Nantes Doulon VS

2ème Romane BIASON Club Cycliste Marmande 47

3ème Léa CORABOEUF CC Castelbriantais

 

Dans En bref

=► QUID DE NOS BENEVOLES ?

Le samedi, 14 mars 2020

  

Depuis quelques années, beaucoup d'associations sportives ou culturelles ont de plus en plus de mal à trouver suffisamment de bénévoles pour mettre sur pieds leurs organisations ou activités. Les contraintes économiques, l'évolution de notre mode de vie et de la composition des familles ont entraîné une baisse du nombre des bénévoles auxquels ces organismes avaient l'habitude de faire appel. Nous dépendons essentiellement en termes d’activités de plus en plus de l'aide de nos bénévoles.

UNE RESSOURCE LIMITEE QU’IL CONVIENT DE BIEN GERER

Plus que jamais, il importe d'améliorer notre façon de gérer cette ressource aussi rare que précieuse. Les associations qui dépendent des bénévoles doivent à tout prix retenir ceux qui « travaillent » déjà pour eux et trouver des façons de rendre les tâches à accomplir suffisamment intéressantes pour en attirer de nouveaux.

 

DECOUVRIR CE QUI ATTIRE LES BENEVOLES ET SOUTIENT LEUR ENGAGEMENT

La plupart des recherches qui ont été faites jusqu'à présent sur des questions liées à la gestion des bénévoles traitaient de la motivation et de la satisfaction de ces derniers. Mais sous forme de sondage. Quel cheminement parcourent en fait les bénévoles dès lors qu'ils sont recrutés, initiés sur une mission, puis affectés à une tâche? Par quelle gamme de sentiments et de réactions passent-ils? À quelle condition doit satisfaire une affectation pour que le bénévole apprécie l'expérience et souhaite la répéter et en parler à d'autres, attirant ainsi d'autres bénévoles?

Il convient de fournir aux bénévoles des occasions de se réaliser, permettre de découvrir des facettes cachées de leur personnalité et de celle des autres et leur donner le sentiment qu'ils créent des liens de solidarité avec leur communauté et lui apportent une contribution. De plus, ajouter à ces conditions la formation, le soutien et la reconnaissance qui s'imposent, et on aura très certainement des bénévoles débordants d'énergie, qui s'amusent en travaillant et qui se sentent mieux qu'avant de faire du bénévolat.

FACTEURS D'INCITATION AU BÉNÉVOLAT

  • le sentiment d'accomplir quelque chose

  • la reconnaissance et la rétroaction

  • l'épanouissement personnel

  • la possibilité de rendre service en compensation d'un bienfait reçu

  • la possibilité de faire évoluer la société

  • les liens familiaux par exemple enfants ou parents participant à une activité.

  • l'amitié, le soutien.

  • la création de liens.

  • le sentiment d'appartenance

VALORISER LE BENEVOLAT :

Déjà investi en tant que bénévole dans une association ? Savez-vous que vous pouvez valoriser cette expérience dans de nombreuses situations ? Recherche d’emploi, acquisition d’un diplôme ou reconversion professionnelle, le bénévolat, c’est aussi une porte d’entrée vers de nombreuses opportunités… À condition d’être bien informé ! 

DEVANT UN RECRUTEUR : DES ATOUTS À METTRE EN AVANT

Dans votre CV, l’expérience acquise ou les recommandations de vos responsables associatifs sont autant d’atouts pour décrocher un entretien. Encore faut-il les présenter comme des expériences professionnelles à part entière. Trop souvent, les candidats relèguent dans la rubrique « centres d’intérêt » une implication associative qui mobilise pourtant de nombreuses compétences. De même, votre implication auprès d’une association en dit long, non seulement sur vos savoir-faire techniques et sociaux, mais également sur votre savoir-être. Les bénévoles développent des aptitudes appréciées dans le monde de l’entreprise. Écoute, sens de l’autre, empathie, travail en équipe, montage et gestion de projets… Des qualités auxquelles les recruteurs sont sensibles et dont votre engagement témoigne pour vous.

Nous allons prendre contact avec l’association France Bénévolat afin de savoir si des personnes peuvent répondre à nos besoins 

JUSTE UN PETIT RAPPEL DE LA DEFINITION DU BENEVOLAT

Le bénévolat est une activité non rétribuée et librement choisie qui s'exerce en général au sein d'une institution sans but lucrati : associationONGsyndicat ou structure publique. Celui ou celle qui s'adonne au bénévolat est appelé « bénévole ». L'étymologie du mot vient du latin « benevolus » qui signifie « bonne volonté ».

Se sentir utile et faire quelque chose pour autrui est le moteur des bénévoles, lesquels s'impliquent dans des domaines d'activité sans rémunération aussi divers que le sport, la culture ou les loisirs, l'humanitaire, la santé, l'action sociale, la défense des droits, la défense de l'environnement et de la biodiversité ou encore l'éducation.

 

Et si on profitait de cette situation sanitaire actuelle délicate pour réfléchir sur ce sujet et essayer de recruter des bénévoles, chiche….